Bonjour,

Non je n'ai pas de problème, au contraire, mais j'aimerai simplement partager quelque chose avec les amateurs de graphisme.
Si vous commencez à en avoir assez de Illustrator (ou bien même photoshop, mais je vais éviter de faire un doublon dans les forums), sachez qu'il existe de très bonnes alternatives , et très en vogues qui plus est :

  • Affinity Designer très simple d'utilisation, et très léger / performant.
  • Sketch on ne le présente plus, il est devenue le principale concurant pour l'ux/ui design.

Malheuresement les deux ne sont disponibles uniquement sur mac.

... M'enfin rares sont les graphistes travaillants sur Windows ou Linux je pense !

3 réponses


Oui le problème est alors de communiquer avec les autres. Si tu veux ensuite travailler avec un dev qui utilise Windows c'est grillé :D. Perso ça me fait chier de recevoir un fichier que je dois galérer à ouvrir...

A noté de Affinity designer gère les svg, les ai, les eps , les psd et les svg (très bien d'ailleurs). Mais Sketch ne gère pas les psd, il les ouvres format bitmat, pas top top du tout .

Dans quels sens affinity sait il gérer les formats propriétaire ?

Si il sait juste les ouvrir et non capable de les réenregistrer dans le format propriétaire, l'intérêt est donc mineur, car le travail en collaboration sur un fichier avec des outils différents (adobe d'un côté, et affinity de l'autre par exemple) est sans intérêts me semble t'il !

Par contre, si il sait enregistrer en format propriétaire natif, cela pourra rendre transparent l'outil utilisé lors de la collaboration de travail sur un fichier.

Seulement dans le cas où affinity sait enregistrer les formats propriétaire, une question légale se pose !
Est ce qu'affinity a payé des royalties à adobe pour utiliser les formats adobe, ou peut il utiliser un format propriétaire sans autorisation ?
Peut être qu'affinity est un partenaire privilégié d'adobe où des affinités particulières lient les deux acteurs ? Allez savoir !

[HS]
De toutes les façons, avoir de beaux outils pour fabriquer de belles images aux entreprises afin d'entretenir le jeu de consommation et du profit effréné n'a pas de sens. Le jour où l'on aura des outils qui nous permettrons de mieux percevoir le fond (à l'instar de l'image, de la forme) des choses, le monde ira de fait, dans un sens plus sein et moins délirant, car l'essentiel primera sur le superficiel et non l'inverse comme actuellement.
[/HS]