Bonsoir avant tout je ne savez pas trop ou placez mon sujet donc j'ai décidez de le placé ici :).

J'ai des difficulté en math, je n'est pas toujours étais nul en math xD j'étais même très bon quand jetais ou collège je vous parle de sa en quand j'avais 14ans seulement après je n'est pas continuer de progressez en math j'ai fais mon CAP en électricien j'ai postuler pour un BAC mais en vin pus de place :( sa aurais pus me donner les compétence qu'il demande pour des école en dev web mais je ne vais pas abandonner la, je demande si vous connaisez des genre de formation en ligne ou des cours sur les math pour que j'obtient a nouveau les base et que je prouve ou recruteur que je suis capable de travail dans se domaine.

Je cherche aussi une information sur comment devenir dev web sans passez par une école genre DUT BAC +, je serais près a faire une formation en dev web, mais la plus part de me recherche sur le net n'on aboutis a rien, j'ai cherchez sur l'afpa mais il demande toujours soit un BAC+ 2 soit un BTS, que je trouve qui de-fois na rien na voir avec les branche recherchez.
Ma question et simple connaissez vous une formation dev web qui ne demande pas de BAC+ mais qui demande genre des connaissance, genre lors de l'entretien il vous pousse des question sur les langages et vous demande quel sont les balise utiliser en dev web, j'ai un CAP en électricien j'avais commencer un BAC pro dans la même branche que l'élec mais j'ai du arrêter car erreur par le centre de formation.

Pouvez vous me dire si j'ai oui ou non les compétence pour travailler dans du dev web, voila le premier projet que je suis entrain de monter légèrement modifier comparez a un autre poste que j'avais fais l'image ici:).

Voila moi je trouve que pour quelqu'un qui a commencer seul je pense que oui j'ai se qu'il faut maintenant j'attend vos réponse :).

Ps: désoler si il y a des faute j'utilise l'outil de correction de google chrome :).

Graphiweb.

6 réponses


Bonjours, l'ami(e) bon je connais différent truc concernant électricien :

Électricien est le nom donné au métier qu'exercent les hommes de l'art en matière d'électricité. Il est issu du terme électricité, puisque ceux-ci ont en charge la réalisation, la maintenance, la modification d'installations électriques. Ils doivent respecter les normes en vigueur (en France la norme NF C 15-100) pour la réalisation de leur travaux.
On distingue plusieurs métiers avec des compétences communes, mais des savoir-faire très différents, suivant l'environnement spécifique dans lequel ils s'effectuent.

Électricien du bâtiment :

Il officie dans tous bâtiments à vocation d'habitation et immeubles de bureaux. Il effectue les installations dans les bâtiments neufs, les modifications, la mise aux normes, les dépannages ainsi que la dépose des vieilles installations. Il n'a affaire qu'aux classes de tension : BT (basse tension) et TBT (très basse tension). Il travaille en étroite collaboration avec le plombier et le maçon.

Électricien courant faible :

Il est spécialisé dans les installations comportant des circuits fonctionnant en TBT et faible courant : téléphonie, télésurveillance, sonorisation, contrôle d'accès, réseau informatique.

Électricien du tertiaire :

Dans les grandes surfaces de vente et les installations de l'industrie tertiaire, il a des compétences : de l'électricien du bâtiment, de l'électricien courant faible et de l'électricien industriel. Il travaille aussi bien en TBT qu'en BT, parfois HT (haute tension)...

Électricien d'équipement industriel :

Il œuvre sur les sites industriels : à l'installation, la maintenance et la modernisation des installations électrotechniques. Il est confronté à des systèmes avec des puissances adaptées à l'industrie, réclamant des tensions parfois très élevées et des courants bien souvent importants. Ses attributions l'amènent au voisinage de TBT, BT, HTA (20 000 volts)

Électricien de réseau de transport :

Il a en charge l'installation, la modernisation et la maintenance du réseau de transport électrique. Il utilise des méthodes, des procédures et de l'outillage spécifique à ce métier particulier. En général chaque type de tension requiert des électriciens possédant des formations différentes sur un même réseau.

Électricien de cinéma et de théâtre (technicien spectacle) :

Il travaille sur les plateaux de cinéma et de théâtre ou dans des décors naturels avec des sources diverses (fluorescents, HMI, tungstène).
L'électricien de cinéma est sous la direction du « chef électricien », lui-même sous la direction du chef opérateur, il place et règle les projecteurs et leurs accessoires. Le rôle du chef opérateur étant évidemment d'essayer de combler les vœux du réalisateur (metteur en scène).

Outillage utilisé :

Les différents électriciens utilisent différents outils mais la base est toujours la même :
jeux de tournevis ;
pince à dénuder ;
pinces coupantes isolées ;
pince à bec isolée ;
dénude câble ;
scie à métaux ;
jeux de clés plates ;
jeux de clés à pipes ;
jeux de clés Allen ;
pince ampèremétrique (pour mesurer le courant lorsque le circuit est fermé, donc non accessible par un multimètre, qui est un outil plus pédagogique)
multimètre.
Les équipements de protection individuelle (EPI) :
chaussures de sécurité ;
gants : pour la manutention, travail BT, spéciaux HT ;
les lunettes sont désormais interdites et sont remplacées par l'écran facial ou le casque avec visière ;
vêtement de travail ;
tapis de sol isolant ou tabouret isolant ;
cadenas de consignation ;
VAT BT et perche VAT en HT (le Vérificateur d'Absence de Tension est un voltmètre qui possède un autocontrôle de ses voyants afin d'être sûr d'utiliser un appareil en état de marche pour s'assurer de l’absence de tension)

Formations :

Tous les électriciens ont bien sûr une formation de base sur l'électricité et ses applications.
Ils ont fréquemment de bonnes connaissances en mécanique et ajustage.
Souvent, ils sont obligés d'utiliser des engins de levage pour pouvoir atteindre le lieu de leurs travaux, il leur faut donc des formations spécifiques à la conduite de ces engins.
Une formation dans le domaine de la sécurité, complétée par des recyclages réguliers (tous les trois ans), leur est dispensée par des formateurs en sécurité. Cette formation est obligatoire en France pour que leur employeur puisse leur délivrer une habilitation suivant les prescriptions de l'UTE C18-510/C18-530.

Spécificités locales :

Au Québec, le métier d'électricien(ne) est régi par la Commission de la construction du Québec (CCQ). Ainsi, toute personne désirant travailler dans ce domaine doit posséder une carte de compétence. Pour le métier d'électricien, une formation de 1 800 heures (environ deux an) est obligatoire pour l'obtention de la carte de compétence.
En France, les entreprises d'électricité peuvent choisir de faire reconnaitre leurs compétences en s'adressant à une association professionnelle comme Qualifelec.

essai de remplir ce ci : Ici

Sinon Apres faut avoir différent diplôme je connais juste la liste la :
Niveau V bis :

CFG : Certificat de formation générale (créé en 1983),
DNB : anciennement BEPC : Diplôme national du brevet en fin de collège (créé sous sa forme actuelle en 1988),

Niveau V :
Certificat d'études primaires (ancien) (supprimé en 1989)
CAP : Certificat d'aptitude professionnelle (créé en 1919),
BEP : Brevet d'études professionnelles (créé en 1967)
MC : Mention complémentaire

Niveau IV :

Baccalauréats (Bac général, bac technologique et bac professionnel), (créé le 17 mars 1808)
Capacité en droit (créé le 13 mars 1804)
Examen spécial d'entrée à l'université (créé en 1956)
DAEU : Diplôme d'accès aux études universitaires
BT : Brevet de technicien
BMA : Brevet des métiers d'art
Probatoire du Diplôme d'études comptables supérieures (DECS)
BM : Brevet de maîtrise
BTM : Brevet technique des métiers (certification professionnelle de l'Assemblée Permanente des Chambres de Métiers et de l'Artisanat)
FPE : Formation professionnelle d'établissement
BP : Brevet professionnel
BEPECASER : Brevet pour l'exercice de la profession d'enseignant de la conduite automobile et de la sécurité routière. Qui, aujourd'hui, ne donne plus l'accès aux études supérieures mais qui néanmoins reste un diplôme de catégorie IV.
MIMA : Musicien interprète des musiques actuelles, certificat de la Fédération nationale des écoles d'influence jazz et des musiques actuelles.
TP : Titre professionnel
BPJEPS : Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport
BEES 1°: Brevet d'État d'éducateur sportif du premier degré
AMS : Animateur musical et scénique permet notamment de devenir disc jockey (visé par l'État)

Niveau III :
BTS : Brevet de technicien supérieur
BTSA : Brevet de technicien supérieur agricole
DUT : Diplôme universitaire de technologie
DEUST : Diplôme d'études universitaires scientifiques et techniques
DMA : Diplôme des métiers d'art
TP : Titre professionnel
DEJEPS : Diplôme d'État de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport
BM : Brevet de maîtrise homologué niveau III dans certaines branches et/ou chambres de métiers
DNAP : Diplôme national d'arts plastiques
Niveaux II & I - Diplômes universitaires nationaux[modifier]
Attention : cette classification n'est pas en harmonie avec la réforme Licence-Master-Doctorat
Diplômes de second cycle (licence ou maîtrise)
Troisième cycle universitaire (DEA, DESS, DHET, Doctorat)
Diplômes de Grande école
DESJEPS : Diplôme d'État supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport
Ancienne graduation[modifier]
filière générale
DEUG (bac+2)
Licence (bac+3)
Maîtrise (bac+4)
Diplôme d'études approfondies (DEA) (bac+5)
Doctorat (bac+8)
filière technique et/ou professionnelle
Licence professionnelle (Bac+3)
MST Maîtrise des sciences et techniques (bac+4)
MSG Maîtrise des sciences de gestion (Bac+4)
DEST Diplôme d'études supérieures techniques (bac+4)
DESS Diplôme d'études supérieures spécialisées (bac+5)
DHET Diplôme de hautes études technologiques (bac+5)
DRT Diplôme de recherche technologique (bac+6)

Les diplômes d'électricien

Pour exercer le métier d’électricien il faut obtenir son Bac pro en trois ans ou son CAP d'électrotechnique ou le CAP préparation et réalisation d’ouvrages électriques. Suite à cette formation, il est ensuite possible de poursuivre ses études vers un BP ou un Bac technologique. En gros voici les formations diplômes d’électricien possibles.

Formation électricien Niveau II
Licence professionnelle en électricité
Formation électricien Niveau III
BTS électricité
Formation électricien Niveau IV
Bac Pro électricien
Formation électricien Niveau V
CAP préparation et réalisation d'ouvrages électriques
BEP électricien
Formation en CAP électricien

Le certificat d’aptitudes professionnelles ou CAP d’électricien est au niveau V. L’obtention du cap permettra à son titulaire de se qualifier en tant qu’ouvrier professionnel qualifié en vue de préparations et réalisations de travaux électriques.

Le cap peut s’obtenir de plusieurs façons : soit par formation scolaire, formation continue ou formation par apprentissage. Se former en travaillant est un excellent moyen d’apprentissage pour devenir électricien.

Les titulaires du cap électricien peuvent postuler sur des formations en alternance de niveau bac. Ces cours peuvent mener l’électricien à s’installer à son propre compte.

Formation en BEP électricien

Le BEP électricien ou Brevet Élémentaire Professionnel est un diplôme qui destine son postulant à la vie professionnelle d’électricien. Le BEP électricien est au niveau V et destine son titulaire à entrer dans la vie active ou s’il le souhaite poursuivre ses études. Une partie de la formation est axée sur les matières générales telles que français, mathématiques, géographie, histoire, et autres. L’autre partie de la formation est dédiée aux enseignements en lien direct avec le champ d’étude spécialisé du candidat. Au cours de cette formation, l’étudiant électricien aura l’occasion de suivre des stages en entreprises d’une durée de quatre à huit semaines.

Formation en Bac pro électricien

Le Bac Pro électricien (BP) s’adresse principalement à ceux qui oeuvrent déjà dans le domaine et qui souhaitent aller plus loin et se spécialiser dans un secteur tel que les équipements industriels. Pour y être admis on demande un niveau d'études de 4ème des lycées et collèges.

formation en BTS électricien

Le BTS électricien ou Brevet de Technicien Supérieur est un diplôme pouvant être obtenu suite à deux ans d’études après le baccalauréat. Après l’obtention du BTS électricien, le candidat aura la compétence pour installer et entretenir des systèmes électriques ou s’il souhaite travailler en production, il pourra devenir chef d’équipe ou même assistant ingénieur.

Formation en Ingénieur électricien

L’ingénieur électricien peut étudier, concevoir, planifier, tester et évaluer des pièces d’équipement électrique. Il peut se spécialiser dans différents domaines tels la production et le transport d’énergie électrique ou encore la conception d'installations électriques résidentielles, commerciales ou industrielles. On lui confie souvent la préparation de documents contractuels, plans et devis ainsi que l’évaluation de soumissions. Il est aussi de sa compétence de superviser des électriciens, techniciens ou autres ingénieurs.

Pour obtenir le titre prestigieux d’ingénieur électricien, on exigera du candidat un baccalauréat en génie électrique. Le diplôme obtenu à la fin des études est de niveau bac+5. De plus il devra s’affilier auprès d’un ordre ou une association d’ingénieurs professionnels. Étant donné que l’ingénieur électricien œuvre dans un domaine qui est en constante évolution, il devra sans cesse se mettre à jour en suivant des formations appropriées.

Plusieurs formations peuvent être suivies par ceux qui souhaitent embrasser la carrière d’électricien. Il est aussi possible de se spécialiser dans des branches spécifiques. Voici les différents diplômes permettant d’accéder au métier d’électricien :

  • Le BEP et le CAP sont des diplômes de niveau V accessibles aux élèves ayant un niveau de 3ème. Deux options sont envisageables à savoir l’option « préparation et réalisation d’ouvrages électriques » et l’option « électrotechnique ».
  • Le BT de monteur en réseaux électriques s’adresse à ceux qui souhaitent se lancer dans le domaine du BTP.
  • Le Bac Pro et le Bac Techno STI sont des diplômes de niveau IV. Deux options sont envisageables en l’occurrence l’option « électrotechnique » et l’option « équipements et installations thermiques ».
  • Le BTS est un diplôme de niveau III. Plusieurs options sont envisageables à savoir la domotique et l’électrotechnique. On notera au passage que les électriciens diplômés dans ces branches sont très recherchés par les professionnels.

après je penses sa se passe dans des fac bon voila tout se que je connais désoler, j'espers t'avoir aider ! :)
A bientôt est bonne chance .

Merci de ta réponse :), j'ai eu mon CAP électricien, mais je souhaite me dirigé dans le métier développeur web justement en possédant un un simple CAP électricien, si je peut trouver une formation BAC pro électricien qui me donnerais la possibilité de faire une formation webmaster je serais ok :).

Formation

De Bac+2 à Bac+5, les entreprises recrutent des développeurs Web avec des niveaux d'étude variables. Reste que le master en informatique est une formation des plus complètes pour ce poste.

Elle permettra d'évoluer ensuite vers des responsabilités plus importantes. A noter toutefois que les profils Bac+2 sont parfois favorisés par la politique salariale de certaines agences

Missions principales

Le développeur, également nommé analyste-programmeur, conçoit et développe des applications informatiques. Concrètement, il va traduire des fonctionnalités logicielles demandées par le client en code informatique, et ce en utilisant un langage de programmation. Il travaille en tout les cas sous la responsabilité d'un chef de projet.

L'émergence de l'Internet a orienté bon nombre de développeurs vers des technologies dédiées au Web, donnant naissance au métier de développeur Web.

En agence ou chez le client, parfois employé en direct, le développeur Web développe des applications utilisées sur des sites externes ou internes (Intranet) à l'entreprise.

Si la conception applicative rentre dans son domaine d'activité, il en est de même pour l'évolution et la maintenance des applications.

Compétences techniques

La maîtrise des concepts de programmation (programmation objet et génie logiciel) et de différents langages et framework de développement orientés Web est nécessaire. HTML et ses dérivés sont des connaissances de base.

Mais .Net, ASP, PHP, symfony, Python, Ruby on Rails sont autant d'outils qui en fonction de la demande de l'employeur devront être également maîtrisés.

Comme dans les autres métiers de l'informatique, la maîtrise de l'anglais est un plus, surtout sur les termes spécifiques du domaine de l'informatique.

Qualités humaines et savoir-être

Précision, rigueur et logique, rapidité d’exécution. Capacité de travailler en équipe et de s'adapter à des méthodes de développement évolutives (Agile, pair programming,...). L'autoformation est aussi une qualité nécessaire, pour évoluer avec la tendance.

Evolutions professionnelles

Les métiers du Web sont de plus en plus complexes et diversifiés ; de quoi donner des idées aux développeurs Web en recherche de nouveauté. Autre voie : le conseil sur des projets Web, en SSII ou en agence, sur des postes de chef de projet.

Rémunération

25 à 40 K€/an, au-delà avec d'autres responsabilités complémentaires. La rémunération brute annuelle des plus de 2000 développeurs Web enregistrés sur ActiveTech Pros est en moyenne de 43.000 euros.

Les écarts peuvent notamment s'expliquer par la localisation géographique de l'employeur. Les salaires étant plus élevés en région parisienne - tout comme ils sont supérieurs à ceux versés dans le secteur public.

Deux témoignages de développeurs Web :
Noël Guilbert
Sensio Labs :
Témoignage Métier - Titulaire d’un BTS en informatique de gestion, Noël Guilbert a suivi ensuite une formation en alternance de niveau Bac+5 pour acquérir d’autres compétences et développer son expérience professionnelle. Il dispose désormais d’une double casquette : développement sur Symfony et consulting.

Noël Guilbert
Métier : Développeur Web
Employeur : Sensio Labs
Age : 26 ans
La fiche métier du développeur Web

Cursus initial et parcours

ZDNet.fr - Qu'avez-vous fait comme études ?
Noël Guilbert - Une formation en alternance dans une filière de l'Epitech, nommée Etna. Ca m'a donné un niveau Bac +5, avec une approche métier assez forte, et un titre d'expert en ingénierie informatique.

J'ai effectué la majeure partie de mon alternance chez Sensio Labs, une agence Web. Avant de faire mon alternance, j'avais un BTS en informatique de gestion. Ça fait maintenant six ans que j’ai été embauché par Sensio Labs.

Quelles sont vos missions principales ?
J'ai plusieurs casquettes. J'ai développé pendant longtemps, ce qui me permet de faire du consulting désormais. Je participe aux auditions chez les clients pour les projets.
Mon rôle est de trouver des solutions techniques pour répondre aux besoins. Cela comprend bien évidement la planification de la charge de travail.

Ensuite, je reprends ma casquette de développeur, 50% de mon temps, pour développer des éléments spécifiques sur la technologie Symfony (ndlr. Un framework de développement PHP). Mais il s'agit d'une expertise bien particulière.

Compétences et connaissances techniques

Sur le plan technique, qu'est-ce qui est important pour bien remplir vos missions ?
La base bien sûr, c'est de bien connaître les concepts de programmation. Ca permet ensuite de s'ouvrir à des technologies différentes, comme le PHP, Javascript, ou encore Python, et de les maîtriser. Ensuite, le travail de veille est nécessaire pour voir arriver les nouveautés.

Quelles sont les qualités humaines indispensables ?
Le développement est un travail d'équipe, en coopération avec les autres développeurs, mais aussi avec les autres fonctions de l'entreprise, comme les chefs de projet et les personnes en charge du marketing.

Il faut donc avoir des capacités de communication importantes, de manière à pourvoir bien s'exprimer sur les choix techniques et fonctionnels.

Et puis il est important de s'investir dans des projets personnels de développement, pas nécessairement liés aux projets professionnels du moment, mais qui permettent d'approfondir des domaines qui peuvent être utiles plus tard.

Carrière et rémunération

Comment voyez-vous la suite de votre carrière ?
Je veux continuer à évoluer sur la partie conseil, avec un focus sur l'apport de solutions opérationnelles pour les clients.

Enfin, côté rémunération, que gagne un développeur web ? Est-ce évolutif ?
On est entre 25 et 45k€/an, peut être même plus, mais il faut bien négocier au début. Sinon l'alternative reste de changer d'employeur pour augmenter ce niveau de salaire, ce qui est assez fréquent dans le milieu !

Mickael Gerard
Tableonline.fr :

Témoignage Métier - Titulaire d’un diplôme d’ingénieur généraliste, Mickael Gerard a démarré sa carrière comme développeur Java et s’oriente désormais vers un profil d’expert, préféré à celui de chef de projet. Témoignage.

Mickael Gerard
Métier : développeur Web
Age : 32 ans
Rémunération brute annuelle : 42.000 €
La fiche métier du développeur Web

Cursus initial et parcours

ZDNet.fr - Quelle est votre formation ? Pensiez-vous devenir développeur au départ ?
Mickael Gerard - Non, j'ai intégré une école d'ingénieur généraliste, l'Enseeiht, après une prépa math sup - math spé.

Mon diplôme porte sur l'informatique et les mathématiques appliquées, et j'ai choisi cette école pour les maths. Mon intérêt pour l'informatique est venu pendant ces études, lors des stages ouvriers que j'ai pu effectuer, pour Thales notamment.

Ensuite, comment avez-vous débuté ?
Je suis rentré en 2003 chez Magnus, groupe Berger-Levrault, qui édite une suite logicielle de gestion pour le secteur public. A l'époque, ils passaient sur les « nouvelles technologies », à savoir Java. J'ai enchainé deux CDD sur 16 mois. J'étais analyste technique chez eux et je travaillais en lien avec des experts métiers qui fournissaient les spécifications.

Après, je suis parti chez Anyware Technologies une startup toulousaine, qui propose des services Web basées sur des solutions Open Source depuis rachetée par le canadien Sierra Wireless. Nous travaillions au forfait pour des clients, avec très peu de régie.

L'idée était de déployer chez eux du J2EE en attendant que les briques SAP arrivent. Je suis resté cinq ans chez eux, et suis devenu développeur expérimenté, avec des compétences de chef de projet.

Compétences et connaissances techniques

Quelles sont selon vous, avec votre expérience, les compétences nécessaires pour être un bon développeur ?
Il y a une distinction entre le développeur Bac+2 et le développeur Bac+5. Les analystes, avec un diplôme d'ingénieur, ont une formation qui permet une capacité de réflexion sur une problématique.

Mais au delà du diplôme, c'est l'attitude qui est importante. « Pourquoi je fais ce que je fais » est une question qu'il faut arriver à se poser et à laquelle il faut savoir répondre.

Certes, la maîtrise des langages est nécessaire, mais une attitude positive va permettre de réaliser un travail de veille, d'auto-formation. En fait, ce qui est important, c'est d'acquérir une autonomie.

Ensuite, je dois dire que je suis un vrai geek le week-end, et en production la semaine. Mon travail se poursuit en dehors du bureau, où je teste de nouvelles choses. En fait, je développe tout le temps.

Après, il faut un esprit d'équipe important sur les gros projets, avec la capacité de former d'autres développeurs sur des technos que l'on maîtrise. Les méthodes Agiles comme le pair programming demandent par exemple de savoir s'adapter à un nouveau mode de programmation. Ce qui demande par ailleurs de savoir gérer son stress.

Carrière et rémunération

A quoi souhaitez-vous passer ensuite ?
Je me dirige vers l'expertise, que je préfère à la gestion de projet. Je vise une connaissance globale dans le domaine des applications Web, tant sur la partie développement bien sûr, mais aussi infrastructure, et bases de données.

Enfin, côté rémunération, comment avez-vous évolué ?
En 2003, avec un Bac+5, j'ai démarré à 28K€/an. Et ça n'a pas beaucoup progressé depuis. Il faut dire que les développeurs n'ont pas en France la reconnaissance qu'ils peuvent avoir ailleurs, comme aux Etats-Unis. Donc cela ne grimpe pas vite, et il faut aller vers la gestion de projet ou l'expertise pour espérer obtenir mieux.

Ensuite, une stratégie payante consiste à aller voir ailleurs quand c'est possible, et c'est ce que j'ai fait.

Voila tout !

[Edit]: Témoignages trouver sur ZDnet !

Non sans bac + techniquement, tu n'as droit à aucune école publique. Par contre, il y a des cfa en informatique mais bofbof. Sinon la seule solution serait que tu aille dans une école privée et là, il demande en échange ta part que tu bosses et 6000 euros minimum l'année.

Certaine sont bonnes d'autre pas. A toi de voir.

C'est à dire que tu bosse mais 6000 euro l'année ?

Ce que je veux dire , c'est que les école privée en moyenne c'est 6000 euros que tu dois payer. Mais généralement , ce genre d'école, c'est que tu bosses très dure.